De la ligne droite à la ligne courbe. Depuis qu’Éric Ciotti a officiellement embrassé la cause frontiste, les langues se délient. Notamment celles d’anciens proches qui ont pris leurs distances ou démissionné avec fracas. Leur récit brosse, au scalpel, le portrait d’un opportuniste prêt à tout pour
C’est marrant mais c’est aussi désolant et inquiétant… Ça rappelle des trucs des USA ou du Brésil où des dirigeants ne veulent pas lâcher le pouvoir
C’est une constante des dirigeants corrompus.