De la ligne droite à la ligne courbe. Depuis qu’Éric Ciotti a officiellement embrassé la cause frontiste, les langues se délient. Notamment celles d’anciens proches qui ont pris leurs distances ou démissionné avec fracas. Leur récit brosse, au scalpel, le portrait d’un opportuniste prêt à tout pour
C’est une constante des dirigeants corrompus.