• innermeerkat@jlai.lu
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    5 days ago

    Je vois que tous les coups sont permis. J’entends bien que c’est son rôle d’avocat de trouver des atouts pour la défense mais là c’est puant de mauvaise foi et de très bas étage.

    De plus comment l’argumentaire du « je la croyais faussement endormie car je pensais que ça faisait parti d’un scénario libertin » pourrait passer ? La personne ne bouge pas du début jusqu’à ton départ, ne fait aucun bruit, n’a aucune vigueur et tu essayes de faire croire que tu ne savais pas ce qu’il se passait ?

    Un cadavre serait encore chaud qu’ils n’auraient pas fait la différence ?

    Bande de chiens.

      • Ziggurat@sh.itjust.works
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        5 days ago

        Note : mal formulé, je pense a de la castration chimique.

        Est-ce que ça fonctionne ? C’est quoi l’impact long terme sur la santé ? Ne plus pouvoir se servir de son pénis, et être stérile, ça me parait assez mineur comme problème (par rapport à ne plus pouvoir se servir de son pied ou sa main disons) et probablement plus humain qu’une peine de prison. Par contre j’ai en tête que ça peut poser pleins d’autres problèmes de santés genre osteoporose, aucune idée si c’est facile à mitiger.

        Cependant, avec un cerveau de violeur, il y a moyen de faire encore pleins de chose horribles sans bander, j’ai en tête que les Eunuques fréquentaient les bordels, donc est-ce que vraiment ça va changer quelque chose ?

        Y-a-til eu des études qui montrent que la castration physique ou chimique marche ? ou bien c’est juste un truc populiste qui marche pas ?

        • Jean-Mich Much@jlai.lu
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          4 days ago

          https://fr.wikipedia.org/wiki/Castration_chimique

          L’efficacité du traitement reste encore à prouver. Les statistiques montrent une différence significative de récidive avec ou sans traitement, sans pour autant que cette différence soit forte (13.7% vs 10.1%). Ce type de traitement doit donc encore faire ses preuves car il y a un manque d’études suffisamment rigoureuses. Néanmoins il est important de préciser que ce traitement est indissociable d’un suivi psychologique. Selon Florence Thibaut, professeur de psychiatrie au CHU de Rouen, le problème vient d’un problème comportemental qui, sans le traitement médicamenteux, est difficile à atteindre pour le patient dont toute l’attention est portée sur son obsession sexuelle. Le traitement médicamenteux est une « sorte de calmant », son but étant de stopper les problèmes d’ordre physique pour que le patient se concentre sur son comportement. Une fois que le traitement fait effet, le patient est « davantage disponible pour travailler d’autres points », peut « s’intéresser à autre chose » et donc admettre le préjudice causé à la victime, être d’accord sur l’utilité de se soigner, de progresser sur le contrôle de soi-même, voire de réorienter sa sexualité